2 novembre 2006

PORTO ALEGRE

Aujourd'hui, c'est férié... allez savoir pourquoi ils ne fêtent pas la Toussaint le 1er! Faute de pouvoir aller grimper aujourd'hui car il a plu hier (ouais c'est moche, même ici il pleut...enfin il fait malgré tout 22 degrés alors cé pas grâve) nous sommes aller a la foire aux livres a Porto Alegre.





Nous sommes donc aller nous garer en centre ville, a l'étage T du parking, au moins a cette hauteur on peut effectivement avoir une belle vue sur le fleuve (Rio Guaíba)












La foire aux livres, c'est grand, c'est bien, y'a beaucoup beaucoup de livres, mais il y a aussi beaucoup, beaucoup de monde. Alors apres avoir fait un petit tour et acheter deux bouquins, écrit en portuguais (oui, madame!), nous sommes allés visiter quelques musées dont la "usina do gasômetro"qui est une ancienne usine thermo-electrique, convertie en centre culturel (elle t'aurait bien plu Al)









elle est au bord du fleuve et c'est l'un des meilleur endroit pour admirer le coucher du soleil... nous n'étions donc pas tous seuls!




nous sommes allés ensuite "na beira do rio". Tout les gens se retrouvent la, pour boire le chimarrao ( pour ceux qu'on suivit), manger des churros (les chichis chez nous avec de la confiture de lait), boire a la paille dans une noix de coco et jouer des instruments traditionnels brésiliens.






Ma visite de Porto Alegre a été succinte, je pense que j'aurais bien d'autres occasions d'y retourner. Ca m'a déja donner un aperçu de ce que sont les grandes villes du Brésil. Une ville pleine de contradictions: entre les buildings et les shopping incroyablements grands et les favelas insalubres devant lesquels on passe tous les jours. Les belles voitures qui cotoient dans le centre ville même, des charettes tirées par des chevaux.Une ville qui bouge, qui organise des évenements de grandes tailles comme cette foire du livre et qui pourtant conserve un tram en pleine voie et qui ne bougera plus faute de moyen...
Je suis des cours actuellement avec une prof de portugais pendant lesquel on bavarde (en portugais) sur les conditions économiques du Brésil: " un pays pauvre,plein de richesses mal réparties"

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